Description
Mâlâ en perles d’os brun de 10 mm…
Hérités de l’art tibétain, les mâlâ (signifiant guirlande) sont utilisées comme rosaires ou chapelets pour la prière. D’origine bouddhique ou hindou, elle est utilisée pour réciter des « mantras ». Les mâlâ représentent dans la culture bouddhiste le temps et le cycle de la renaissance. Elles sont également données en offrande aux bouddhas. Les moines et les pratiquants bouddhistes le portent comme il est d’usage à leur poignet gauche. Traditionnellement, elle est composée de 21, 27 ou 108 grains, en bois de diverses essences. On en trouve en verre, en pierres précieuses ou semi-précieuses, et en os également. Entre les grains sont parfois insérés quatre repères appelés « chaturmaharaja », en perles plus grosses ou en pendentifs symboliques. Elles proviennent soit du Népal, soit de l’Inde. La fabrication de ces mâlâ est réalisée par des artisans spécialisés constitués en caste.
En bracelet, on compte généralement 21 perles, la plus grosse perle ou « bille de tête », représente la connaissance de la vacuité. Le petit cône qui la surmonte est le symbole de la vacuité elle-même.